Du 8 mai au 30 juin, Géopolis et les Halles-Saint Géry mettent à l’honneur le travail de dix femmes photojournalistes. Leurs travaux évoquent de nombreuses thématiques allant des conflits récents aux flux de réfugiés en passant également par de grands enjeux environnementaux.
Dans cette série d’entretiens, les femmes photographes reviennent sur leur travail, leur expérience de photojournaliste et de la place des femmes dans ce métier si singulier.
Dans la quatrième interview de cette série, la photographe anversoise Liza Van der Stock revient sur son documentaire « Waste pickers ». Même si les ramasseurs de déchets jouent un rôle essentiel dans les grandes villes comme Mumbai, leurs efforts sont à peine reconnus et ils sont stigmatisés par le reste de la société. Liza Van der Stock explique pourquoi elle a décidé de documenter cette question, et raconte comment elle est entrée en contact avec les fortes femmes qui constituent une large partie des contingents de ramasseurs de déchets.
From 8 May to 30 June, Géopolis Brussels and the Halles-Saint Géry are highlighting the work of ten female photojournalists. Their work reveals an intriguing image of recent conflicts, refugee flows and the impact of climate change. In this series of interviews, they talk about their work, their experience as a photojournalist and the role of women in photojournalism.
In the fourth interview of this series, photographer Liza Van der Stock (Antwerp) talks about her documentary “Waste pickers”. Even though waste pickers play an essential role in big cities such as Mumbai, their efforts are hardly recognised and they are being stigmatised by the rest of the population. Van der Stock explains why she decided to shed light on this issue, and tells how she got into contact with the women that she photographed.