Du 8 mai au 30 juin, Géopolis et les Halles-Saint Géry mettent à l’honneur le travail de dix femmes photojournalistes. Leurs travaux évoquent de nombreuses thématiques allant des conflits récents aux flux de réfugiés en passant également par de grands enjeux environnementaux.

Dans cette série d’entretiens, les femmes photographes reviennent sur leur travail, leur expérience de photojournaliste et de la place des femmes dans ce métier si singulier.

Dans la huitième et dernière interview de cette série, le photographe iranien belge Mashid Mohadjerin évoque son livre “Lipstick and Gas Masks”. En publiant ce livre, elle donne une voix aux femmes de Tunisie et d’Egypte qui ont joué un rôle important lors des soulèvements qui ont émaillés, depuis 2011, les « printemps arabes ».

From 8 May to 30 June, Géopolis Brussels and the Halles-Saint Géry are highlighting the work of ten female photojournalists. Their work reveals an intriguing image of recent conflicts, refugee flows and the impact of climate change. In this series of interviews, they talk about their work, their experience as a photojournalist and the role of women in photojournalism.

In the eighth and last interview of this series the Belgian Iranian photographer Mashid Mohadjerin talks about her book “Lipstick and Gas Masks”. By publishing this book she gives a voice to the women in Tunisia and Egypt who played an important role during the uprisings that started in 2011.