Les récentes fuites de documents du Parti communiste chinois publiés par le New York Times ont jeté une lumière crue et effrayante sur la situation dans la région ouighoure. Dans cette région musulmane du nord-ouest de la Chine près d’un million de Ouïghours seraient enfermés dans des “camps de rééducation”.
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Le peuple ouïghour est également soumis à une surveillance généralisée appuyée par une technologie très sophistiquée, dont la reconnaissance faciale et l’analyse de données biométriques.
Géopolis propose un focus sur cette situation avec Vanessa Frangville, directrice du centre de recherche EASt sur l’Asie de l’est à l’ULB spécialiste des politiques ethniques en Chine et avec Dilnur Reyhan, post-doctorante à l’ULB présidente de l’Institut ouïghour d’Europe