“Au final, le journalisme en temps de guerre est là pour une seule raison : sauver des vies, où c’est possible, aider les gens, où c’est possible.”

À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse et dans le cadre de la série d’émissions consacrée à l’Ukraine, nous avons rencontré la journaliste ukrainienne Nataliya Gumenyuk, basée à Kyiv.

Mme Gumenyuk est une journaliste spécialisée dans les affaires étrangères et les reportages sur les conflits, fondatrice du Public Interest Journalism Lab, et auteur de plusieurs livres, dont : “Lost Island : Tales from the Occupied Crimea”. Présente à Bruxelles pour une journée le 3 mai, Mme Gumenyuk a été invitée à plusieurs interventions et conférences sur la situation des journalistes en Ukraine.Au cours de cette interview, elle a parlé de son travail actuel en tant que journaliste à Kyiv, des défis auxquels elle et d’autres journalistes sont confrontés, de l’importance de continuer à faire des reportages, et de la nécessité de raconter les histoires des personnes touchées.

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Podcast: World Press Freedom Day – an encounter with Nataliya Gumenyuk.

On the occasion of the World Press Freedom Day and in the context of the special series of radio shows dedicated to Ukraine, Euradio interviewed Ukrainian journalist Nataliya Gumenyuk, based in Kyiv.

Ms Gumenyuk is a journalist specialised in foreign affairs and conflict reporting, founder of the Public Interest Journalism Lab, and author of several books including: “Lost Island: Tales from the Occupied Crimea.” Present in Brussels for one day on the 3rd of May, Ms Gumenyuk was invited to several talks and conferences about the situation of journalists in Ukraine.

During this interview, she talked about her ongoing work as a journalist in Kyiv, about the challenges she and other journalists are facing, and about the importance to continue reporting, and the necessity to tell the stories of the people affected.

“In the end journalism during war is there for one reason: to save lives, where it’s possible, to help people, where it’s possible.”

Présentation: Nadine Vermeulen

©Andriy Makukha