Géopolis – Centre du photojournalisme
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Demain, chaos climatique ?

Kiribati Tarawa. Des enfants jouent sur une digue près d’une épave rouillée d’un bateau s’étant écrasé sur la digue lors d’une marée exceptionnelle en février 2015. © Vlad Sokhin/Panos Images

Géopolis a le plaisir de vous annoncer l’ouverture prochaine, du 7 juin au 15 juillet, de son nouveau cycle dédié au réchauffement planétaire.

Ce cycle sera articulé autour d’une exposition pédagogique réalisée en lien avec le collectif Climat2020 animé notamment par Jean Jouzel (ancien vice-président du GIEC). A cette occasion Géopolis présentera également plusieurs expositions évoquant cette problématique aux quatre coins du globe :

  • Vlad Sokhin, Warm Waters (Visa d’or du visa pour l’image),
  • Lu Guang, Développement et pollution
  • Nyani Quarmyne, Exposition sur les conséquences du réchauffement climatique au Ghana
  • Brice Portolano, Portrait de personnes ayant adopté un mode de vie respectueux de la nature
  • Collectif Argos, Exposition réalisée par 9 photographes du collectif Argos sur les conséquences humaines du réchauffement climatique

 

Avec le soutien de CO²Logic, de Greenpeace Chine et du collectif Climat2020

Partenaires : Brassage photographique et agence Hans Lucas

Exposition : 7 juin → 15 juillet
Demain, chaos climatique ?
Alors que les petits hauts fourneaux extrêmement énergivores et polluants ont été fermés il y a longtemps ailleurs, ils sont encore en plein essor dans le district de She, ville de Jingdian. © Lu Guang / Greenpeace

Dans le cadre du cycle d’expositions dédié au réchauffement planétaire, Géopolis présente l’exposition “Demain : chaos climatique ? ». Cette exposition a été réalisée parallèlement au lancement de l’initiative « Climat2020 » invitant l’Europe à se mobiliser largement sur la question. Cette

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Exposition : 7 juin → 15 juillet
Développement et pollution
La ville de Huolinguole est située à l’extrémité nord de la prairie de Keerqin. Les principales industries de la ville sont l’extraction du charbon, les centrales électriques et les industries chimiques. A cause de la forte pollution générée il est devenu dif icile pour des animaux comme des vaches ou des moutons de vivre sur la prairie, alors le gouvernement local les a remplacé par de nombreuses sculptures d’animaux. © Lu Guang / Greenpeace

Deuxième puissance économique mondiale, la Chine paie le tribut d’une industrialisation intensive et son inévitable corolaire : la pollution. Lu Guang, ancien ouvrier chinois devenu à force de volonté et de travail un des plus grands photographes

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Exposition : 7 juin → 15 juillet
Warm Waters
Un enfant roule à vélo près de véhicules accidentés. Ile de Fongafale, Tuvalu. © Vlad Sokhin/Panos Images

De l’Alaska à la Nouvelle-Zélande en passant par les confins du nord de la Russie, le photographe russe Vlad Sokhin documente par la photo les effets déjà bien visibles du réchauffement climatique. Montée des eaux, fonte du

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Exposition : 7 juin → 15 juillet
Avec les réfugiés climatiques
Shishmaref, Alaska. Abandonnée depuis longtemps, la maison de Mina Weyiouanna vient de basculer sur la place. "Je me revois encore y jouer aux dominos avec mon grand-père, raconte-t-elle avec dignité. A l'époque, elle était encore à plus de 100 km du rivage". © Argos

Depuis 2004, le collectif Argos est parti à la rencontre des premières victimes du changement climatique afin de leur donner la parole et mettre un visage sur ces personnes menacées directement par les conséquences du réchauffement climatique.

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Exposition : 7 juin → 15 juillet
Changer de vie pour sauver le climat
L'enfant d'un ami d'Alex rigole alors que ce dernier s'efforce d'attacher les bottes de foins sur son camion. © Brice Portolano

“Changer de vie pour sauver le climat” propose une série de portraits de personnes ayant adopté un mode de vie respectueux de la nature. Des Alpes à l’Alaska, Brice Portolano s’intéresse dans son travail aux relations entre l’homme

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Exposition : 7 juin → 15 juillet
Nous étions à trois miles de la mer
Numour Puplampo dans les ruines de sa maison détruite par la mer gagnant du terrain. Totope, Ghana, 23 février 2011. ©Nyani Quarmyne

L’érosion de la côté ghanéenne n’est pas chose nouvelle. Mais ce phénomène s’est particulièrement accéléré au cours de ces dernières années. A tel point que selon certains experts, l’existence de certaines capitales côtières d’Afrique de l’ouest pourrait

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