Les dérèglements climatiques liés aux activités humaines sont maintenant connus de tous, appuyés les rapports successifs du GIEC.
Pour retrouver une période aussi chaude qu’aujourd’hui, il faut remonter environ 125.000 ans en arrière. Mais, à l’époque, le réchauffement était de nature très différente, lié à une importante variation de l’ensoleillement.
Le changement climatique actuel se singularise des précédents par sa vitesse et surtout l’influence de l’activité humaine dans ce processus.
Cette influence des activités humaines sur notre environnement pousse d’ailleurs certains scientifiques à considérer que nous ne sommes plus dans l’holocène (nom donné à la dernière période géologique), mais désormais dans l’anthropocène, une nouvelle période de type géologique profondément marquée par les activités humaines.
Cette exposition – réalisée par Géopolis sur base des travaux de Jean Jouzel, ancien vice-président du Giec et de Pierre Larrouturou – pose le constat de la situation et établit des pistes pour un sursaut.
Avec le soutien de visit.brussels et de la Région Bruxelles-Capitale.