Géopolis – Centre du photojournalisme

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Géopolis – Biden. Espoirs déçus ? Partie 1

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Un an après, force est de constater que la magie n’a pas vraiment opéré et que le président américain, déjà assez impopulaire, connaît les pires difficultés pour faire voter ses initiatives phares et notamment les grands projets d’investissements sur lesquels il s’était engagé.

Sur la scène internationale, le bilan de celui qui avait promis de redonner leur crédibilité aux Etats-Unis a été également largement entaché par les terribles images du retrait plus que chaotique d’Afghanistan sur fond de retour des Talibans au pouvoir à Kaboul, des Talibans chassés 20 ans plus tôt.

Cette émission propose un premier bilan de la présidence de Joe Biden.

Invité : Lauric Henneton, maître de conférences à l’Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines, spécialiste des Etats-Unis. Il a notamment publié La fin du rêve américain (Odile Jacob, 2017).

Animation : Ulrich Huygevelde

Montage et préparation :  Laura Léger

Emission enregistrée en public à Cosmopolis avec le soutien de Nantes Université (université permanente).

Source photo : Gage Skidmore from Peoria, AZ, United States of America

EXPO / Mosaïque – Vernissage, visites guidées

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Dans le cadre de l’ouverture de l’exposition « Mosaïque, à la rencontre des citoyens et citoyennes de traditions, de cultures et d’origines musulmanes », Géopolis et le collectif De Vizu vous invitent à une visite guidée et une rencontre avec les photographes Viviane Stevens, Bénédicte Thomas et Véronique Vercheval.

Les visites guidées sont organisées à 13h30, 15h et 16h30. Les visites sont suivies d’un drink dans la salle d’exposition. Entrée gratuite, 30 places par visite.

Inscriptions via : https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeMrRR9DMnGBIHuj7LQMCvFAjeF0yUdsjBN5chmf4NLRhEWHA/viewform?usp=sf_link

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« Mosaïque, à la rencontre des citoyens et citoyennes de traditions, de cultures et d’origines musulmanes », est une enquête photographique du collectif De Vizu.

Pendant trois ans, Viviane Stevens, Bénédicte Thomas, Véronique Vercheval ont photographié des citoyens aux racines musulmanes, en Wallonie et à Bruxelles.

Aller à la rencontre, parler, photogra­phier la vie quotidienne, le travail, les fêtes, les jeunes et leurs aînés, les milieux de vie porteurs de culture et de racines et essayer de comprendre la façon dont ces personnes vivent leurs traditions, leur religion, les incompréhensions et les tensions diverses ont étéles objectifs de ce collectif de photographes. Interroger aussi ceux et celles qui ont renoncé́ à la religion, avec, parfois, les conséquences liées à leur choix.

Le reportage vise notamment à casser les clichés, à mettre en évidence toute la diversité des personnes et groupes de personnes liés à cette culture. Il s’agit de partager l’espace public, de vivre ensemble, de se renforcer mutuellement, de mieux se connaître, de profiter de nos diffé­rences.

Photo © Véronique Vercheval.

Regards – Avec Pascal Maitre

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Dans cette nouvelle édition de Regards, nous accueillons le photojournaliste Pascal Maitre.

Pascal Maître est né à Buzançais, en France en 1955. Après des études de psychologie, il se lance en 1979 à l’âge de 24 ans, dans une carrière de photojournaliste pour le média Jeune Afrique.

Quelques années plus tard, il rejoint l’agence photographique de presse Gamma. Au cours de sa carrière, il travaille avec de nombreuses agences : Odyssey images, qu’il a co-fondée, Cosmos, Myop, ou encore Panos Pictures.

Il a couvert principalement le continent africain, le Rwanda, le Nigeria, l’Erythrée, le Mali, le Soudan, le Tchad, et la Sierra Leone sont quelques uns des pays qu’il a parcouru et dans lesquels il s’est intéressé à l’environnement, aux différents modes de vie, aux traditions, à la politique et aux conflits.

Par ailleurs, il s’est intéressé à la situation en Afghanistan à différentes périodes, au Proche Orient, en Amérique du Sud, et en Sibérie…

Ses photographies ont été publiées dans de nombreux médias tels que Géo, Paris Match, Figaro Magazine, L’Express, le National Geographic, et a été récompensé par de différents prix, parmi lesquels le World Press photo, le Grand Prix AFD / Polka du meilleur projet de reportage photo ou encore le Visa d’Or d’Honneur pour l’ensemble de sa carrière en 2015.

  • Afghanistan, 1998
  • Mogadiscio, Somalie, 2002
  • Binga, République démocratique du Congo, 2012
  • Atankpé, Bénin, 2017
  • Mali, 2019
  • Ampotaka, Madagascar, 2019

Pascal Maitre se trouve actuellement à Bruxelles, où il expose son projet “Baobabs, the Trees of Life” au Hangar dans le cadre du Photos Brussels festival.

Préparation, présentation et montage : Elisa Greco

© Pascal Maitre

New podcast – Through the lens of: Alfredo Bosco

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In the context of the exhibit “Urban Warfare”, presented at Géopolis Brussels until February 11th, we talked to Italian photographer Alfredo Bosco, about his project “Forgotten Guerrero (Mexico)” and his career as a photojournalist.

“I grew up in an area that is unfortunately under the mafia, and there is a general sense of disillusion. In Acapulco (Mexico), it has been 10 years already that it has been one of the deadliest cities in the world, and the situation is not getting better. (…) So people are leaving knowing this is the daily life, under violence, and things will not get better in a few years.”

After studying photography in Milan, Alfredo Bosco co-founded a magazine devoted to urban photography. In 2010, he covered the consequences of the earthquake and the cholera outbreak in Haiti. Between 2010 and 2020, Alfredo Bosco covered different crises such as criminality in Caracas, Venezuela and the civil war in Donbass, Ukraine. In 2015, he was selected by LensCulture as one of the world’s top 50 emerging talents.

For his project ‘Forgotten Guerrero’, he documented violence, fear and and resistance in the Mexican state of Guerrero in light of the ongoing drug war.

Presentation: Nadine Vermeulen

Photos © Alfredo Bosco

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Podcast – Regards : Alfredo Bosco

Dans le cadre de l’exposition « Urban Warfare », présentée à Géopolis jusqu’au 11 février, nous rencontrons le photographe italien Alfredo Bosco. Il nous a parlé de son projet « Forgotten Guerrero (Mexique) » et de sa carrière de photojournaliste.

« J’ai grandi dans une région qui est malheureusement sous la coupe de la mafia, et il y a un sentiment général de désillusion. À Acapulco (Mexique), ça fait déjà 10 ans que c’est l’une des villes les plus meurtrières du monde, et la situation ne s’améliore pas. (…) Les gens partent en sachant que  la vie quotidienne, c’est sous la violence, et que les choses ne s’amélioreront pas dans quelques années. »

Après avoir étudié la photographie à Milan, Alfredo Bosco a cofondé un magazine consacré à la photographie urbaine. En 2010, il a couvert les conséquences du tremblement de terre et de l’épidémie de choléra en Haïti. Entre 2010 et 2020, Alfredo Bosco a couvert différentes crises telles que la criminalité à Caracas, au Venezuela, et la guerre civile dans le Donbass, en Ukraine. En 2015, il a été sélectionné par LensCulture comme l’un des 50 meilleurs talents émergents au monde.

Pour son projet  » Forgotten Guerrero « , il a documenté la violence, la peur et la résistance dans l’État mexicain de Guerrero à la lumière de la guerre de la drogue.

Présentation : Nadine Vermeulen 

Photos © Alfredo Bosco

Mexico; Guerrero; Rincon de Chautla; 2019
Mexico; Guerrero; Petlacala; 2018
Mexico; Guerrero; Acapulco; 2019 A crime scene in Acapulco.
Italy;NO LOCATION;2020
Italy;Apulia;Foggia;2020
Ukraine; Donbass region; Spartak; 2016

EXPO/ Urban Warfare, prolongée jusq’au 11.02

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Du 10 décembre 2021 au 6 février 2022, Géopolis présente l’exposition `Urban Warfare en collaboration avec le CICR. Aujourd’hui, cinquante millions de personnes subissent directement les conséquences des guerres qui se déroulent aux quatre coins du monde. 

Ils sont confrontés à la violence quotidienne, aux pénuries de nourriture, d’eau et de médicaments, ou encore au manque de services de santé.

Antoine Agoudjian, Alfredo Bosco, et Abdulmonam Eassa, photojournalistes lauréats des trois dernières éditions du Visa d’Or humanitaire du CICR, exposent leur travail sur cette thématique. Ils mettent en lumière les conséquences humanitaires effroyables des combats en zones urbaines au Haut-Karabakh, au Mexique ou encore Syrie. 

En janvier et février, l’exposition est ouverte sur réservation, du mardi au vendred, et les dimanches 16, 23 et 30 janvier et le dimanche 6 février de 13h à 17h30.

Entrée gratuite.

Vous pouvez réserver via contact@geopolis.brussels ou 0485 32 85 90 ou 0485 63 13 89.