Après une fermeture estivale, Géopolis réouvre ses portes aujourd’hui avec l’exposition « Journal d’un photographe » de Alain Keler.
L’exposition reste ouverte jusqu’au 13 septembre.
Heures d’ouverture :
Mardi, jeudi et vendredi de 13h à 17h30
Mercredi sur réservation : contact@geopolis.brussels
Le weekend de 12h à 16h
Géopolis, l’agence spatiale européenne (ESA) et la Politique scientifique fédérale belge (BELSPO) ont le plaisir de vous annoncer la présentation prochaine à Géopolis d’une série de clichés de la Terre vue de l’espace pris par le spationaute Thomas Pesquet depuis la station spatiale internationale.
Les photos exposées montrent la terre comme vous ne l’avez sans doute jamais vue. Les clichés ont été réalisés par Thomas Pesquet penché au-dessus de la Cupola, la fenêtre d’observation de la Station spatiale internationale.
Pendant 200 jours et 200 nuits l’astronaute a pris des milliers de photos dont certaines reproductions sont exposées à Géopolis du 17 septembre au 25 octobre.
Les images illustrent la beauté mais aussi la fragilité du monde.
L’exposition est réalisée en collaboration avec l’ESA et se doublera de la présentation d’images satellitaires sélectionnées en collaboration avec STEREO, le programme national de recherche en observation de la Terre de la Politique scientifique fédérale belge (BELSPO), images qui seront exposées dans les nouveau locaux de Géopolis, près de l’ascenseur sous le Palais de Justice.
Depuis 1975, les États membres mettent en commun leurs ressources au sein de l’ESA, l’Agence spatiale européenne, qui oeuvre pour le développement des capacités spatiales de l’Europe, et peut ainsi entreprendre des programmes et des activités dont l’envergure dépasse largement ce que chaque pays européen pourrait faire seul.
L’ESA développe les lanceurs, les satellites et les installations sol dont l’Europe a besoin pour jouer un rôle de premier plan sur la scène spatiale mondiale. Elle met en orbite des satellites d’observation de la Terre, de navigation, de télécommunications et d’astronomie ; elle envoie des sondes jusqu’aux confins du Système solaire et coopère à des projets d’exploration humaine de l’espace.
L’ESA compte 22 États membres : Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, Estonie, Finlande, France, Grèce, Hongrie, Irlande, Italie, Luxembourg, Norvège, Pays-Bas, Pologne, Portugal, République tchèque, Roumanie, Royaume-Uni, Suède et Suisse.
La Slovénie a le statut d’Etat membre associé. Le Canada participe aussi à certains programmes de l’ESA au titre d’un accord de coopération. L’ESA a signé des Accords d’État coopérant européen avec la Lettonie, la Lituanie, la Slovaquie, la Bulgarie et Chypre, et des accords de coopération avec Malte et la Croatie.
En savoir plus : www.esa.int
Fruit d’un partenariat entre les États-Unis, la Russie, le Canada, le Japon et l’Europe, la Station spatiale internationale, ISS, est le plus grand projet scientifique international de tous les temps.
En orbite autour de la Terre à une altitude de 400 km, cette structure inédite est habitée de façon permanente et permet d’observer notre planète, de mener des recherches dans l’espace – impesanteur, rayonnements, vide, températures extrêmes -, et de préparer l’exploration humaine du Système solaire.
L’ESA est responsable de deux éléments majeurs de l’ISS : le laboratoire de recherche Columbus et le véhicule de transfert automatique (ATV), dont cinq exemplaires ont permis de ravitailler l’ISS en fret.
Un module de service européen assurera l’alimentation en énergie du véhicule Orion de la NASA qui emportera des astronautes dans l’espace plus loin qu’aucun homme n’est jamais allé.
Thomas Pesquet est astronaute de l’ESA, l’Agence spatiale européenne, depuis 2009. Entre novembre 2016 et juin 2017, il a passé six mois à bord de la Station spatiale internationale, ISS, en tant qu’ingénieur de vol dans le cadre de sa mission Proxima. En orbite autour de la Terre, il a mené plus de 200 expériences scientifiques et photographié la planète des centaines de fois. Il s’entraîne désormais pour son second séjour sur l’ISS prévu pour 2021.
Dans le cadre du développement de ses activités et du lancement de son antenne, la rédaction Bruxelloise d’Euradio lance le recrutement de plusieurs stagiaires rémunérés (octobre 2020 – juin 2021) pour appuyer la réalisation des programmes radio, le développement de ses podcasts et de son site internet.
Nous recherchons des stagiaires motivés, autonomes, créatifs et rigoureux ayant une bonne connaissance de l’UE et de solides bagages en compréhension de l’actualité, sciences politiques et histoire. Des profils ayant le goût du contact, l’esprit d’initiative et si possible une bonne connaissance en au moins une langue étrangère.
Nous recherchons en priorité des candidats ayant des connaissances dans la réalisation de programmes radio et/ou en rédaction d’articles.
Euradio est une radio généraliste développée en 2007 à Nantes et dont la vocation est d’articuler les aspects locaux et européens dans toute sa programmation. L’antenne vient d’obtenir 19 fréquences en France dont une en Belgique. L’antenne bruxelloise débutera ses programmes à la fin 2020. En savoir plus http://euradio.fr/le-projet-euradio-france/
Bruxelles, entre 25 et 30 heures par semaine. Rémunération (environ 500 € mensuels).
Septembre 2020
Envoyez vos candidatures avec CV à contact@geopolis.brussels avant le 17 août.
Notre centre ferme pour l’été mais l’exposition sera exceptionnellement ouverte les dimanches 12 et 19 juillet. L’exposition sera de nouveau visible aux horaires habituels, après l’été, du 1er au 13 septembre.
Cette émission revient sur les violents incidents survenus dans l’Himalaya, aux frontières entre l’Inde et la Chine, en juin dernier, et sur la situation du pays alors que ce géant d’1,350 milliard d’habitants sort d’un confinement de plusieurs semaines.
Intervenant :
Jean-Luc Racine est spécialiste de l’Inde, directeur de recherche émérite au CNRS (Centre d’Études de l’Inde et de l’Asie du Sud de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales) et chercheur senior à Asia Centre.
Présentation : Thomas Kox et Ulrich Huygevelde
Géopolis/Euradio
Contact : contact@geopolis.brussels
La crise sanitaire que le monde traverse devrait, selon toute vraisemblance, se traduire par de terribles conséquences sur le plan économique et une explosion du nombre de chômeurs, provoquant une aggravation de l’extrême pauvreté. Une récente étude d’Ofxam évoque une augmentation de 40% de l’extrême pauvreté dans les prochains mois soit environ 500 millions de personnes dans le monde. Cette crise risque de balayer des décennies de progrès, le taux d’extrême pauvreté avait en effet été divisé par près de quatre dans le monde depuis 1984.
Intervenant :
Présentation : Thomas Kox et Ulrich Huygevelde
Géopolis/Euradio
Contact : contact@geopolis.brussels
© Johnny Miller